amman-damas
2 janvier, départ pour damas.
nous n'avons pas de visa syrien sur le passeport, et la frontière me fait peur. discuter en arabe avec un fonctionnaire syrien pour pouvoir rentrer m' inquiète.
nous prenons un taxi à amman, le chauffeur ne prend même pas la peine de vérifier si nos passeports sont en règle. nous ne lui en disons rien.
plus la frontière approche, plus je suis anxieuse.
nous arrivons à la frontière jordanienne, remplissons les formalités pour quitter le territoire jordanien, et atteindre le poste syrien. à ce moment, le chauffeur s'aperçoit de la faille, s'énerve avec le passager assis à sa gauche. je lui demande s'il y a une problème. il me répond que non, in chah allah.
arrivée au bureau, un fonctionnaire me demande nos passeports que je présente. il regarde, à la recherche du visa syrien, et me demande où est passé ce visa. étonnée, je lui dit que je comptais le faire à la frontière. ce n 'est pas possible? j'ai pourtant fait ainsi il y a quelques années...pendant ce temps, le chauffeur offre ces sourires les plus beaux aux fonctionnaires, salue tout le monde, présente ces voeux tandis que je continue à faire la touriste mal informée.
le fonctionnaire me demande ensuite mon nom. Najla Nakhlé. il s'étonne: " de la famille Nakhlé???". bien sûr.
je lui explique que mon père est d'origine libanaise, ma mère est française, et que j'ai toujours vécu en france. la durée de notre séjour en syrie lui paraît louche, 10 jours, c'est trop. les passeports tournés, retournés, pesés et soupesés, le fonctionnaire annonce son verdict: il m'accorde le visa, "parce que je suis une arabe", mais celui de mathieu est refusé. après de nouvelles discussions il s'absente dans un bureau, et revient pour nous donner l'autorisation de payer chacun 28 dollars et entrer en syrie.
je remercie le chauffeur, et nous reprenons la route pour damas, nous arrivons après 4 heures de trajet.
arrivés à damas, nous allons à la gare...prendre un bus pour alep. 4 heures de bus avec escale à homs nous ammènent enfin à alep. après plusieurs essais vains pour trouver une chambre d'hôtel, nous trouvons, contents de nous reposer et de cesser de manger des kilomètres pendant quelques jours...
nous n'avons pas de visa syrien sur le passeport, et la frontière me fait peur. discuter en arabe avec un fonctionnaire syrien pour pouvoir rentrer m' inquiète.
nous prenons un taxi à amman, le chauffeur ne prend même pas la peine de vérifier si nos passeports sont en règle. nous ne lui en disons rien.
plus la frontière approche, plus je suis anxieuse.
nous arrivons à la frontière jordanienne, remplissons les formalités pour quitter le territoire jordanien, et atteindre le poste syrien. à ce moment, le chauffeur s'aperçoit de la faille, s'énerve avec le passager assis à sa gauche. je lui demande s'il y a une problème. il me répond que non, in chah allah.
arrivée au bureau, un fonctionnaire me demande nos passeports que je présente. il regarde, à la recherche du visa syrien, et me demande où est passé ce visa. étonnée, je lui dit que je comptais le faire à la frontière. ce n 'est pas possible? j'ai pourtant fait ainsi il y a quelques années...pendant ce temps, le chauffeur offre ces sourires les plus beaux aux fonctionnaires, salue tout le monde, présente ces voeux tandis que je continue à faire la touriste mal informée.
le fonctionnaire me demande ensuite mon nom. Najla Nakhlé. il s'étonne: " de la famille Nakhlé???". bien sûr.
je lui explique que mon père est d'origine libanaise, ma mère est française, et que j'ai toujours vécu en france. la durée de notre séjour en syrie lui paraît louche, 10 jours, c'est trop. les passeports tournés, retournés, pesés et soupesés, le fonctionnaire annonce son verdict: il m'accorde le visa, "parce que je suis une arabe", mais celui de mathieu est refusé. après de nouvelles discussions il s'absente dans un bureau, et revient pour nous donner l'autorisation de payer chacun 28 dollars et entrer en syrie.
je remercie le chauffeur, et nous reprenons la route pour damas, nous arrivons après 4 heures de trajet.
arrivés à damas, nous allons à la gare...prendre un bus pour alep. 4 heures de bus avec escale à homs nous ammènent enfin à alep. après plusieurs essais vains pour trouver une chambre d'hôtel, nous trouvons, contents de nous reposer et de cesser de manger des kilomètres pendant quelques jours...
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